Pourquoi ai-je réagi comme ça ? Pourquoi est-ce plus fort que moi ? Ces questions, vous vous les êtes peut-être déjà posées après une montée de colère soudaine, une peur irrationnelle, ou une tristesse qui vous cloue sur place. Et souvent, on se reproche de ne pas avoir été « raisonnable ». Comme si la raison devait dominer le cœur, coûte que coûte.Mais si c’était justement l’inverse ? Et si les émotions étaient là pour vous guider, vous alerter, vous faire bouger — pas pour vous saboter, mais pour vous sauver ? Et si la souffrance psychologique n’était pas le signe d’un dérèglement… mais l’expression d’une tentative de régulation qui a déraillé ? Bienvenue dans l’univers fascinant de la thérapie stratégique. Une approche inspirée de l’école de Palo Alto, où l’on apprend à changer sa perception du problème plutôt qu’à le disséquer à l’infini. Où l’on préfère agir pour comprendre plutôt que l’inverse. Où l’on découvre que le vrai moteur du changement, ce n’est pas la raison… mais une expérience émotionnelle correctrice. Découvrez comment cœur et raison s’articulent dans nos comportements émotionnels, comment nos tentatives pour « bien faire » alimentent parfois nos souffrances, et surtout, comment transformer vos émotions en alliées thérapeutiques puissantes.
Et cette perception, loin d’être neutre, est filtrée, interprétée, teintée par vos expériences passées, vos croyances, vos attentes… et bien sûr, vos émotions.
Un collègue vous fait une remarque. Certains en riraient. D’autres se sentiraient humiliés. D’autres encore seraient indifférents. Pourquoi ? Parce que la réalité ne parle pas d’elle-même. C’est votre monde intérieur qui lui donne sens.
En thérapie, nous ne cherchons pas à corriger « objectivement » le réel — mais à modifier l’expérience subjective que vous en avez. Car changer la perception, c’est changer la réaction. Et donc libérer la personne du cercle vicieux de ses tentatives de solution inefficaces.
Mais que se passe-t-il quand l’émotion est mal régulée ? Quand elle surgit sans contexte apparent, ou quand on tente de la réprimer à tout prix ? Le système perception-réaction se grippe, et la souffrance s’installe. Non pas parce que l’émotion est mauvaise en soi, mais parce que notre manière d’y répondre l’amplifie.
C’est pourquoi la thérapie stratégique ne cherche pas à éradiquer l’émotion. Elle vise à modifier les boucles interactionnelles et perceptives qui la maintiennent ou la rendent dysfonctionnelle.
C’est un tri, un focus, une orientation. En d’autres termes, vous ressentez ce à quoi vous donnez de l’importance, ce sur quoi vous placez votre attention. Et cette focalisation émotionnelle devient parfois un piège.
Prenons un exemple : vous avez un battement de cœur irrégulier. Si vous êtes hypersensible à vos signaux corporels, cela peut déclencher une crise d’angoisse. Puis des pensées catastrophiques. Puis de l’évitement. Puis… la peur de la peur.
Le rôle du thérapeute n’est pas de rassurer en expliquant. C’est de désamorcer le processus, de modifier un élément du système — pour faire émerger une expérience émotionnelle nouvelle, réparatrice, libératrice.
Ces demandes sont parmi les plus fréquentes en consultation thérapeutique. Elles semblent légitimes. Après tout, qui veut se faire submerger par une émotion ingérable ? Et pourtant, elles sont piégeuses. Car elles reposent sur une croyance profondément ancrée — mais erronée : l’idée qu’une émotion est un dysfonctionnement à maîtriser.
Or, on ne contrôle pas une émotion, pas plus qu’on ne contrôle le vent ou le tonnerre. On peut s’en protéger, s’y adapter, s’en servir. Mais vouloir la bloquer, l’endiguer ou la dominer revient à appuyer sur un ballon de plage sous l’eau : plus vous forcez, plus il remonte violemment à la surface.
C’est une information, un signal. Elle signale un écart entre ce que vous attendiez et ce qui survient réellement. Une blessure invisible. Un besoin non comblé. Une dissonance entre votre monde intérieur et le monde extérieur.
C’est donc votre réaction à l’émotion – et non l’émotion elle-même – qui devient source de souffrance. C’est lorsque vous essayez de la nier, de l’éviter, de la censurer, que le problème se cristallise. Et ce sont ces tentatives de solution — répétées, inefficaces, paradoxales — que la thérapie stratégique va cibler.
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C’est faire fi de leur rôle fondamental : vous orienter dans le monde. À l’Institut Gregory Bateson, on ne vous propose pas de devenir un moine zen anesthésié. On vous invite à canaliser vos émotions, à leur redonner leur juste place, leur force motrice.
Exemple : un patient vous dit qu’il veut « être moins triste ». Vous pouvez lui répondre : « Et si cette tristesse avait quelque chose à vous dire ? Si au lieu de vouloir la faire taire, on cherchait à écouter ce qu’elle murmure ? »
Changer de posture, ce n’est pas banaliser l’émotion. C’est l’honorer, la traverser, et en faire un levier de transformation.
Pas forcément.
En thérapie stratégique, nous faisons un pas de côté. Plutôt que de chercher pourquoi vous ressentez cette émotion, nous explorons comment elle fonctionne dans votre système. Et surtout : comment modifier l’expérience perceptive qui l’alimente. Parce que c’est en changeant la perception que l’on change la réaction émotionnelle.
C’est là que se niche le vrai pouvoir thérapeutique : non pas dans la prise de conscience intellectuelle, mais dans l’expérience émotionnelle correctrice.
Exemple : vous souffrez d’un manque de confiance en vous. Vous pensez qu’il faut d’abord vous sentir confiant pour oser. En thérapie stratégique, on vous dira : « Faites d’abord, la confiance viendra ensuite. » Et c’est souvent en agissant malgré la peur que vous vivez enfin une expérience différente — et que votre perception de vous-même se transforme.
Autre exemple : vous ruminez sans cesse des pensées angoissantes. On ne va pas chercher à vous rassurer. On va interrompre la boucle de rumination, provoquer un autre mouvement, et ainsi changer l’état émotionnel qui entretient l’angoisse.
Modifier un seul de ces éléments peut infléchir toute la dynamique.
Ce que l’on appelle en thérapie une porte d’entrée stratégique, c’est précisément cela : intervenir là où c’est possible pour créer un effet domino. Parfois, c’est une action minuscule qui provoque un basculement massif.
Changer la perception, ce n’est pas changer la réalité. C’est changer le rapport à cette réalité. Et c’est souvent suffisant pour que le symptôme disparaisse de lui-même.
Trop de peur, trop de colère, trop de tristesse… ou plus rien du tout. Vous vous demandez si vous êtes “trop sensible”, “pas normal·e”, ou “cassé·e à l’intérieur”.
Et si au lieu de vouloir vous en débarrasser, vous appreniez à écouter ce qu’elles ont à vous dire ?
Parce que vos émotions ne sont pas vos ennemies. Elles sont des signaux puissants. Et parfois, elles crient plus fort… simplement parce qu’on ne les a pas entendues à temps.
À force d’éviter ce qui vous fait peur, vous finissez par éviter de vivre.
En thérapie, on ne vous demandera pas de vous jeter dans le vide. On vous aidera à regarder votre peur autrement, à en apprivoiser le mécanisme, et à oser faire un petit pas, juste un, pour retrouver du pouvoir.
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Vous vous emportez facilement ? Ou au contraire, vous ravalez tout jusqu’à exploser ? La colère est souvent mal vue… Pourtant, elle est un signal de survie : elle vous indique qu’une injustice a eu lieu, qu’on vous a manqué de respect, ou que vos besoins sont ignorés.
En thérapie, vous ne serez pas jugé·e pour votre colère. Vous apprendrez à l’exprimer autrement, sans violence mais avec clarté, justesse et puissance.
Vous avez peut-être l’impression que votre tristesse ne passera jamais, qu’elle vous englue, qu’elle vous ralentit. Et vous avez essayé d’“aller mieux”, de “penser positif”... en vain.
La vérité ? Vous avez peut-être besoin d’un espace pour pleurer, pour dire ce que vous avez perdu, ou ce qui ne reviendra pas. La tristesse n’est pas là pour vous noyer. Elle est là pour vous dire stop, pour vous inviter à faire le deuil de quelque chose. Et dans ce deuil, il y a souvent le début de la reconstruction.
Mais ça ne dure pas. Parce que le plaisir, le vrai, demande une connexion subtile à soi-même.
La bonne nouvelle ? Ça se réapprend.
Oui, même si vous vous sentez éteint·e, anesthésié·e, ou bloqué·e.
En thérapie, vous pourrez explorer ce qui vous fait du bien, retrouver vos élans, vous autoriser à ressentir de nouveau… sans peur ni culpabilité.
Mais aujourd’hui, c’est peut-être le moment de faire la paix avec elles.
De leur laisser une place, une voix, un espace.
Pas pour qu’elles prennent toute la place. Mais pour qu’elles retrouvent la leur, naturellement.
Et si vous n’y arrivez pas seul·e, vous avez le droit de demander de l’aide.
Parce qu’on n’apprend pas à apprivoiser ses émotions dans un manuel.
On l’apprend dans la relation, dans la sécurité, dans le mouvement. Et c’est exactement ce que peut vous offrir une thérapie stratégique.
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D’autres sont plus silencieuses, plus insidieuses. Elles s’installent sans prévenir. Elles rongent doucement. Ce sont les émotions sociales : culpabilité, honte, jalousie, dégoût.
Elles ont toutes un point commun : elles surgissent dans le regard de l’autre, ou dans le jugement que vous portez sur vous-même en pensant à ce que les autres voient.
Ces émotions vous font croire que vous êtes le problème. Mais en réalité, ce sont souvent des réactions humaines à une blessure, un manque, un écart entre ce que vous auriez voulu vivre… et ce que vous avez vécu.
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Vous vous jugez, vous vous repassez le film, vous vous auto-punissez. Mais cela ne répare rien. Cela vous épuise.
En thérapie, vous apprendrez à remplacer la culpabilité stérile par une réparation utile. Parfois, c’est accepter de tourner la page. Parfois, c’est vous dire : « J’ai fait ce que je pouvais, à ce moment-là. »
Mais plus vous cachez… plus la honte grandit.
En thérapie, vous serez accueilli·e avec respect, sans jugement. Et si vous osez nommer ce qui vous fait honte, même un tout petit bout, vous verrez : le poids commence déjà à s’alléger. Ce n’est pas vous qui êtes honteux·se. C’est la honte qui vous a volé votre voix.
Vous interrogez, vous contrôlez, vous vérifiez. Mais au fond… vous n’avez jamais vraiment de preuve. Seulement du doute. Et le doute devient obsession.
La jalousie n’est pas un manque d’amour. C’est souvent un manque de sécurité intérieure.
En thérapie, on ne vous fera pas la morale. On vous aidera à reprendre confiance en vous, à rompre le cercle vicieux du contrôle, à retrouver votre liberté relationnelle.
Vous ne vous reconnaissez plus. Vous ressentez un rejet, une distance, une répulsion.
Le dégoût émotionnel agit comme un poison lent : il coupe les liens, vous isole, vous pousse à fuir ce qui vous rend vulnérable.
En thérapie, on explore ce que ce dégoût cherche à vous dire. Ce n’est pas une condamnation. C’est peut-être un appel à redéfinir vos limites, vos valeurs, vos besoins. On peut apprendre à vivre avec, sans en être prisonnier·e.
🧠 Le corps et l’image de soi sont au cœur de notre article sur la dysmorphophobie, ce trouble de la perception qui nous pousse à nous détester dans le miroir.
Elles signalent que quelque chose compte pour vous, qu’un lien a été blessé, qu’une part de vous demande à être regardée autrement.
Vous avez le droit d’être aidé·e. D’être écouté·e autrement. D’être vu·e sans être jugé·e.
Et parfois, il suffit d’un pas, d’un espace différent, pour que ce qui semblait inextricable retrouve une issue.
Vous avez besoin qu’on sente ce que vous vivez. Qu’on ne vous juge pas, mais qu’on ne se perde pas non plus dans votre détresse.
La thérapie stratégique repose sur un principe simple : vous aider à sortir de vos cercles vicieux, sans vous noyer dans vos émotions, ni les fuir. Ici, on ne va pas disséquer ce que vous ressentez pendant des heures. On va chercher, ensemble, ce qui bloque, ce qui se répète, et surtout ce que vous faites — sans le vouloir — pour essayer de vous en sortir… et qui aggrave la situation.
Ce n’est pas parce que vous êtes faible. C’est souvent parce que vous avez développé des stratégies de protection : fuir, vous taire, compenser, vous couper des autres ou de vous-même.
La thérapie va s’adapter à vous, pas l’inverse.
Si vous avez besoin d’exprimer, on vous laissera de l’espace.
Si vous avez besoin d’agir, on vous proposera des petites tâches concrètes.
Si vous êtes bloqué·e dans des pensées en boucle, on vous aidera à desserrer l’étau.
Et si la colère que vous ravalez, la peur que vous fuyez, la tristesse que vous cachez… étaient des émotions légitimes, mais prises au piège d’un fonctionnement devenu toxique ?
Ce que propose la thérapie stratégique, c’est de vous aider à faire un pas de côté. De vous reconnecter autrement à vos émotions — sans les forcer, sans les juger, sans les figer.
Vous n’aurez pas à "tout raconter depuis le début", ni à "comprendre votre enfance". Ce qu’on vise, c’est un changement dans votre perception, ici et maintenant, pour que vos réactions émotionnelles retrouvent leur sens et leur fluidité.
Ce que vous voulez, c’est retrouver de l’élan, du souffle, du mouvement.
Sortir de cette impression d’être piégé·e dans votre tête, ou dans votre corps, ou dans une boucle émotionnelle sans fin.
Et c’est exactement là que commence la thérapie : non pas en expliquant le pourquoi du mal-être, mais en vous faisant vivre une autre façon d’être au monde, à vous-même, aux autres.
Et si la clé était ailleurs ?
Et si, au lieu de vouloir les dompter, vous appreniez à les écouter, les comprendre, les canaliser… pour les transformer en forces vivantes ?
La thérapie stratégique nous enseigne que le vrai changement ne vient pas d’une explication, ni d’un raisonnement, mais d’un déplacement subtil dans notre perception. Une expérience émotionnelle correctrice suffit parfois à remettre en mouvement ce qui semblait figé depuis des années.
Ce qui maintient votre souffrance n’est pas toujours l’émotion elle-même, mais ce que vous faites pour ne pas la ressentir, la fuir, la contrôler. Paradoxalement, c’est souvent en allant à la rencontre de cette émotion — avec les bons outils, au bon rythme, dans un cadre thérapeutique soutenant — que la peur devient courage, la tristesse redevient désir, la colère retrouve sa justesse, et le plaisir se reconnecte au vivant.
Changer de perception, c’est changer d’existence.
Et parfois, cela commence par une seule séance. Par un pas de côté. Par une autre façon de vous regarder — et de ressentir le monde.
Une peur constante, une colère explosive, une tristesse paralysante ne sont pas “trop” en soi, mais trop fréquentes, trop invalidantes, ou mal régulées. Dans ce cas, une thérapie stratégique peut vous aider à canaliser ces émotions plutôt qu’à les fuir ou les contenir.
Vous pouvez analyser vos émotions pendant des années sans voir de changement concret. Ce qui vous libère, c’est vivre une expérience émotionnelle nouvelle, plus que d’expliquer l’ancienne. La thérapie stratégique agit directement sur la perception, pour provoquer ce basculement émotionnel correcteur. Elle vous aide à ressentir autrement, puis à penser et à agir autrement.
Ce sont des réactions adaptatives, biologiques, souvent inconscientes. Tenter de les dominer ne fait souvent que les renforcer. En revanche, apprendre à les accueillir, les canaliser et les traverser peut vous redonner du pouvoir. La thérapie stratégique vous aide à déjouer les tentatives de contrôle inefficaces et à renouer avec une régulation émotionnelle naturelle.
Elle agit indirectement, en modifiant la perception, les interactions, les pensées automatiques ou les comportements. L’émotion se régule d’elle-même quand le système global change. Cette approche est pragmatique, brève, et permet souvent des résultats rapides et durables sans analyse interminable du passé.
La peur protège, la colère pose des limites, la tristesse invite au repli et à la réparation, le plaisir reconnecte à la vie. Ce n’est pas l’émotion qui est un problème, c’est la manière dont on y réagit, ou la boucle dans laquelle elle s’installe. En thérapie, on apprend à retrouver le sens de chaque émotion, sans les figer ni les fuir.
… c’est peut-être le moment de consulter. Une thérapie brève et stratégique peut vous aider à trouver un nouvel équilibre émotionnel, sans forcément “creuser” le passé. Il suffit parfois d’un décalage dans la perception pour que tout bascule.
Parce que les émotions sont dynamiques : elles évoluent en fonction de votre perception du contexte, de vos pensées, de votre état physique ou de vos souvenirs. C’est normal d’osciller entre joie, doute, colère ou peur en une seule journée. Ce n’est pas une instabilité, mais une réactivité adaptative. La thérapie stratégique vous aide à comprendre ce qui alimente ces variations et à reprendre la main sans les étouffer.
Après un traumatisme, une dépression, ou un stress chronique, certaines personnes disent se sentir “vides”, “anesthésiées”, comme coupées de leurs émotions. C’est un mécanisme de protection qui, à terme, isole et épuise. Une thérapie stratégique peut vous aider à reconnecter en douceur vos émotions, en passant par l’action ou le corps avant même la parole.
Elles agissent comme des filtres de perception : la peur vous fait fuir, la colère vous fait trancher, la tristesse vous fait abandonner. En changeant l’émotion, vous changez la vision du monde, et donc vos décisions. La thérapie stratégique agit justement sur ces boucles pour vous aider à choisir autrement, en fonction de ce que vous voulez… et non de ce que vous redoutez.
En thérapie brève, vous découvrirez comment ne pas nourrir les émotions douloureuses, comment leur laisser une place, mais sans leur donner le pouvoir de vous gouverner. Par des exercices concrets, des recadrages et des tâches ciblées, vous pouvez retrouver une stabilité émotionnelle durable.
Elle agit sur le système global : comportement, interactions, perceptions, cognition… Elle permet souvent des résultats concrets en quelques séances, sans analyser tout votre passé. D’autres approches efficaces incluent l’hypnose, l’EMDR pour les traumas, ou certaines TCC. L’important est de trouver la méthode qui vous parle et le thérapeute avec qui vous vous sentez à l’aise.