Qui dirige la cure ? Le psychanalyste, le sujet... ou le désir ?
13/5/2025

Qui dirige la cure ? Le psychanalyste, le sujet... ou le désir ?

Il est des textes qui claquent comme des portes que l’on croyait closes. « La direction de la cure et les principes de son pouvoir », publié par Jacques Lacan en 1958, est de ceux-là. Derrière ce titre austère se cache un brûlot, une mise à feu conceptuelle, un manifeste autant qu’un règlement de comptes. À qui appartient le pouvoir dans une cure analytique ? À quoi ou à qui obéit-on lorsqu’on interprète ? Et surtout, qu’est-ce que diriger une cure sans trahir l’inconscient ? Prenez place, le divan est là, mais c’est le cadre qui vacille. Et si la cure n’était pas ce que vous pensiez ?

Le psychanalyste : ni guide, ni gourou, ni éducateur

Dans les années 1950, Lacan tire la sonnette d’alarme.

Il voit s’installer dans les pratiques analytiques une dérive insidieuse : certains analystes s’érigent en directeurs de conscience, d’autres se rêvent réparateurs de psychismes cabossés, promoteurs d’un moi solide, adapté, fonctionnel.

Comme si la psychanalyse avait pour vocation de normaliser, de moraliser, ou de réintégrer l’individu dans l’ordre social. Mais pour Lacan, c’est une trahison pure et simple de l’inconscient.

La psychanalyse, insiste-t-il, ne vise ni le bonheur, ni l’équilibre, ni même la guérison au sens habituel du terme.

Elle ne propose ni rééducation morale, ni insertion sociale. Elle ne soigne pas l’ego, elle le décentre. Elle ne renforce pas le moi, elle en révèle les failles et les fictions. Elle ne cherche pas à vous rendre conforme, mais à vous remettre en contact avec votre propre division.

Le but n’est pas l’adaptation, mais la vérité du désir.

Le véritable danger, pour Lacan, c’est de confondre la direction de la cure avec une direction de l’âme. Dès lors, l’analyste devient un maître à penser, le patient un élève, et la cure glisse vers la suggestion, l’autorité, voire la manipulation. Un analyste qui « veut le bien » de son patient — même avec les meilleures intentions du monde — entrave la parole et écrase le sujet.

« Le psychanalyste ne doit pas vouloir le bien du sujet », affirme Lacan avec la violence salutaire qui le caractérise.

Car vouloir le bien, c’est déjà supposer savoir ce qu’il est, et donc s’interposer entre le sujet et son propre cheminement. Ce que l’analyste doit, c’est tout autre chose : offrir un espace où le sujet peut parler sans être jugé, errer sans être recadré, désirer sans être ramené au rang d’un moi socialement acceptable. En un mot : se rencontrer dans sa propre étrangeté, dans ce qui, en lui, échappe au sens, à la norme, à l’adaptation.

La position de l’analyste n’est donc ni celle du guide, ni du coach, ni de l’éducateur.

Elle est celle d’un partenaire silencieux du désir, d’un témoin du manque, d’un passeur entre le symptôme et la parole. Une posture éthique qui exige de renoncer à toute volonté de diriger – pour mieux soutenir ce qui, en l’autre, cherche à se dire, à s’inventer, à s’écouter enfin.

Le transfert : moteur et piège

Mais que faire de l’amour du patient pour son analyste ? Du regard admiratif, de l’attente de reconnaissance, voire du désir qui surgit sur le divan ?

Ce que Freud avait nommé transfert, Lacan le redéfinit avec une précision vertigineuse : le transfert, c’est le désir en acte, déplacé sur la figure de l’analyste. C’est une fiction structurante, une illusion nécessaire, à la fois moteur de la cure et piège redoutable.

Il ne s’agit pas d’un simple attachement affectif ou d’une projection d’émotions passées. Le transfert, chez Lacan, est la mise en scène du fantasme inconscient, l’actualisation de la structure du sujet dans son rapport à l’Autre. À travers l’analyste, ce n’est pas une personne qui est investie, mais la fonction d’énigme, de pouvoir, de savoir supposé, souvent au prix de malentendus intenses.

Le transfert est la mise en acte de la réalité de l’inconscient.

Et c’est là tout le paradoxe : le transfert est à la fois ce qui rend la cure possible et ce qui peut la figer. Car dès qu’il s’installe comme certitude ou comme vérité affective, il menace de tout refermer : le désir devient demande, la parole devient adresse, et l’analyste est aspiré dans une position de maître, de sauveur ou d’amant supposé.

Lacan avertit : l’analyste ne doit pas céder au transfert, ni l’alimenter, ni le satisfaire.

S’il répond à la demande d’amour, il ferme la porte à l’inconscient. La tâche est subtile : interpréter sans répondre, désigner sans combler, soutenir le manque sans le boucher. Car ce manque, c’est le moteur du désir, le lieu même où quelque chose peut advenir.

Le transfert doit être traversé, non consommé.

Il n’est pas là pour être comblé, mais pour révéler la logique inconsciente qui structure le sujet. L’analyste doit s’y tenir, non comme objet de jouissance, mais comme support de l’énigme, afin de permettre que le sujet se confronte à ce qui, en lui, répète, insiste, et cherche à se dire autrement.

Si cette exploration du transfert vous interpelle, vous pouvez approfondir le travail en psychanalyse à Versailles dans un cadre confidentiel et bienveillant.

L’interprétation : un acte, pas une explication

Oubliez les longues analyses causales, les reconstitutions logiques, les discours qui déroulent du sens comme on rembobine un film.

Pour Lacan, l’interprétation n’est ni une explication, ni une traduction, ni une mise en sens de l’inconscient. Elle ne vise pas à comprendre, mais à faire vaciller le savoir supposé.

L’interprétation est un acte. Un coup porté à la chaîne signifiante. Une incision dans le tissu du discours. Elle ne commente pas, elle intervient. Et c’est précisément parce qu’elle n’éclaire pas qu’elle touche l’inconscient. Car ce dernier ne parle pas en phrases complètes, mais en fragments, en trous, en équivoques.

L’interprétation réussie ne rassure pas, elle désoriente.

Elle crée un accroc dans le tissu du langage, un décalage, une coupure qui permet à un autre sens d’émerger — ou au sujet de se confronter au non-sens qui l’habite. Ce n’est pas la réponse qui compte, comme dans l’énigme d’Œdipe, mais le remaniement subjectif qu’elle provoque.

Elle peut surgir dans une phrase, un mot, un silence, une scansion.

Parfois une simple coupure de séance vaut plus que mille explications. Car l’interprétation touche là où ça ne colle pas, là où le symptôme trébuche, là où le réel résiste.

C’est pourquoi l’interprétation est un art, non une technique reproductible. Un art du rythme, du silence, du moment juste. Un art de viser juste sans viser bien, de frapper sans blesser, de détourner le discours pour faire apparaître ce qui s’y cache.

Elle suppose de l’analyste une écoute aiguisée, une présence flottante, une disponibilité au surgissement de l’inattendu.

Elle ne vient jamais pour combler, mais pour ouvrir, déplacer, troubler. Car là où ça trébuche, ça parle. Et c’est là que l’analyse opère.

Le désir de l’analyste : condition et énigme

Mais qui peut interpréter ainsi ? Qui peut – ou plutôt ose – soutenir cette position éthique si risquée, si radicalement en retrait ?

Lacan introduit ici l’un de ses concepts les plus décisifs : le désir de l’analyste. Ce n’est pas un simple moteur intérieur, ni une bonne volonté bienveillante. C’est la condition même de la cure. Sans ce désir particulier, aucun transfert ne peut se dérouler jusqu’à son point de vérité, aucune coupure n’opère, aucune direction n’est tenable.

Mais attention : ce désir-là n’est pas le désir de savoir, de comprendre, de réussir ou de sauver. Il n’est pas non plus le désir de guérir, au sens médical, ni le désir de reconnaissance narcissique. Il est désir désencombré de toute finalité personnelle, désir sans objet, désir comme position éthique, ouvert à l’inconnu, tendu vers le manque de l’Autre.

C’est dans la mesure où il opère comme cause du désir que l’analyste peut soutenir la direction de la cure.

Cela signifie que l’analyste ne soutient pas son propre désir, mais tient la place de la cause du désir chez l’autre. Il n’est pas le lieu de la réponse, mais celui de l’appel. Il ne sait pas, il fait désirer.

Ce désir énigmatique, l’analyste ne l’acquiert pas en suivant un cursus, mais en traversant son propre fantasme au cours de son analyse. Il ne se forme pas uniquement par des lectures ou des contrôles, mais par une mutation subjective, par un travail sur son propre inconscient. On ne devient pas analyste par décret, mais en consentant à une dépossession fondamentale : celle du savoir, du pouvoir, du narcissisme.

C’est ce désir — tenu, silencieux, mais agissant — qui oriente la cure vers le désir du sujet, et non vers la jouissance ou la maîtrise du thérapeute.

Une position rare, exigeante, qui ne peut se soutenir que dans le manque, et dans l’écoute de ce qui, toujours, échappe.

Le désir de l’analyste, tel que Lacan le conçoit, est au cœur de notre pratique en psychanalyse à Versailles.

Une éthique du manque, pas du pouvoir

Et le pouvoir, alors ? Où est-il ?

Lacan retourne la question. Ce n’est pas la direction qui confère du pouvoir, c’est le pouvoir qui pervertit la direction.

Sitôt que l’analyste croit savoir ce qui est bon pour l’autre, qu’il répond à sa demande ou cherche à produire un effet, il sort de la position analytique pour tomber dans la suggestion, la maîtrise, voire la manipulation.

L’analyste n’a pas de pouvoir sur l’autre.

Il n’en a qu’un : celui de tenir sa place vide, de rester hors du circuit du sens, d’être ce point d’énigme autour duquel le sujet peut faire l’expérience de son manque, de son désir, de sa division. C’est une position difficile, exigeante, qui résiste à la tentation d’aider, d’expliquer, de consoler.

La direction de la cure n’est donc pas une conduite vers un bien supposé, ni une normalisation du sujet. Elle suit le fil du désir, pas celui de la conformité, de la réussite ou de la réparation.

C’est une éthique du non-savoir, du non-maître, du non-jouir, qui refuse la clôture du sens et laisse le sujet s’inventer à partir de ce qui lui manque.

L’analyste en position de sujet barré

À la fin de ce texte, Lacan annonce déjà ce qu’il développera plus tard dans L’envers de la psychanalyse : l’analyste ne peut véritablement tenir la direction de la cure qu’en consentant à sa propre division, en assumant une position de sujet barré, cause du désir, point d’appel de l’énigme de l’Autre.

Ce n’est qu’en renonçant à l’illusion de maîtrise qu’il devient capable de soutenir l’espace analytique.

Il ne s’agit pas pour lui d’incarner un idéal ou un modèle, mais de se tenir là où il ne sait pas, dans une disponibilité à l’inconscient de l’autre, sans répondre par des certitudes. C’est à ce prix qu’il peut soutenir le cadre sans l’enfermer, accueillir la parole sans la diriger, ouvrir sans coloniser. L’analyste n’est pas celui qui éclaire, mais celui qui autorise l’obscur à se dire — sans s’interposer entre le sujet et sa propre vérité.

La parole libre et le respect du rythme singulier du patient sont les fondements de notre accompagnement en psychanalyse à Versailles.

Conclusion ? diriger, c’est se démettre

Lacan nous l’enseigne avec ce texte tranchant comme un scalpel : diriger une cure, ce n’est pas exercer un pouvoir, mais tenir une position.

Une position de retrait, de désir, de manque. Une position éthique, qui ne vise pas à réparer, consoler ou normaliser, mais à soutenir l’émergence du sujet, dans sa vérité la plus nue.

En somme, la seule direction valable est celle qui ne sait pas où elle va, mais qui tient la carte du désir dans ses plis.

Et vous, si vous êtes analyste ou en analyse : qui dirige votre cure ? Le thérapeute ? Le symptôme ? Le transfert ? Ou ce quelque chose d’invisible et brûlant qu’on appelle le désir ?

Les questions que vous n’osez pas toujours poser sur la psychanalyse… mais qui changent tout !

Si vous souhaitez entamer un travail sur vous-même, la psychanalyse à Versailles peut offrir un espace unique de transformation intérieure.

Combien de temps dure une cure psychanalytique ?

La durée d’une cure psychanalytique n’est pas prédéfinie. Elle dépend de votre rythme, de la nature de vos conflits psychiques, de votre engagement dans le travail.

Pour Lacan, il ne s’agit pas de guérir vite, mais d’aller jusqu’où le sujet peut se rencontrer. Certaines cures durent quelques mois, d’autres plusieurs années. L’essentiel n’est pas le temps passé, mais ce qui s’y transforme. La fin d’une cure ne se décide pas à l’avance, mais se construit dans le transfert et la parole.

Pourquoi parle-t-on de séances courtes chez Lacan ?

Lacan a introduit la pratique des séances à durée variable, parfois très courtes, appelée aussi scansion. Ce n’est pas une méthode arbitraire, mais un acte structurant.

En interrompant la séance à un moment clé, souvent après une phrase chargée, l’analyste fait entendre l’inconscient là où le sens semblait s’installer. Cela crée un effet de coupure, qui relance le travail d’une manière souvent très puissante. Ce n’est donc pas une séance « écourtée », mais une intervention clinique précise et signifiante.

La psychanalyse peut-elle m’aider si je ne sais pas ce que je veux ?

Justement. La psychanalyse s’adresse à ceux qui ne savent pas ce qu’ils veulent, ou dont le désir est entravé, confus, refoulé. Parler, c’est déjà chercher son désir.

En écoutant ce que vous dites, même dans l’errance ou la contradiction, l’analyste vous aide à repérer les points de blocage, les répétitions, les échos inconscients. Ce n’est pas une quête de certitudes, mais une exploration du manque. C’est dans le creux de vos questions que votre vérité subjective peut se dévoiler.

Et si je ne parle pas beaucoup ou que je ne sais pas quoi dire ?

Il n’est pas nécessaire d’être un grand bavard pour commencer une cure. Ne pas savoir quoi dire est déjà une manière d’entrer dans l’analyse.

L’essentiel est de dire ce qui vient, même si cela paraît sans importance, absurde ou flou. Le psychanalyste est là pour soutenir ce fil fragile. Parfois, un mot lâché sans y penser peut ouvrir une chaîne signifiante. Le silence, l’hésitation, les lapsus sont autant de portes d’entrée dans l’inconscient. On ne parle pas pour bien dire, mais pour se déplier.

Dois-je tout dire à mon analyste ?

En théorie, oui : la libre association est un principe fondamental. Mais cela ne signifie pas que tout doive se dire immédiatement, ni dans n’importe quelles conditions.

Vous êtes libre de vos silences, mais ce que vous choisissez de ne pas dire peut aussi être très parlant. Peu à peu, ce qui était tu ou impensable peut trouver sa voie. L’analyste n’impose rien, mais accueille sans jugement ce qui surgit – y compris les résistances à dire. La vérité du sujet ne se force pas, elle se formule dans le temps.

L’analyste peut-il me dire ce que je dois faire ?

Non, l’analyste ne donne pas de conseils. Son rôle n’est pas de vous guider vers un idéal ou une solution toute faite, mais de vous aider à entendre ce que vous ne savez pas que vous dites.

En intervenant trop directement, il risquerait de fermer l’espace du désir. La psychanalyse vise l’émergence de votre vérité propre, pas l’application d’un modèle. Ce qui importe, c’est ce que vous découvrirez par vous-même, en parlant, en trébuchant, en dépliant votre histoire.

Je suis amoureux·se de mon psy. Je crois que mon psy est amoureux de moi. Est-ce normal ? Que faire ?

Oui, le sentiment amoureux en analyse est fréquent, et porte un nom : le transfert.

Il s’agit d’un déplacement du désir vers l’analyste, qui rejoue souvent des relations inconscientes anciennes. Ce n’est ni honteux ni anormal, mais un moment important de la cure. En revanche, l’analyste, lui, ne doit jamais y répondre : s’il cède à cette illusion, il sort du cadre analytique. Le mieux à faire est d’en parler en séance, ouvertement. C’est là que le travail commence.

Pourquoi l’analyste reste-t-il silencieux ou répond peu ?

Le silence de l’analyste est un outil structurant, non une absence. Il permet que votre parole se déploie sans être interrompue ou influencée.

Ce silence laisse place à l’émergence de l’inconscient, du transfert, et parfois du désir à l’état pur. L’analyste intervient peu, mais avec précision, souvent par une interprétation ou une coupure qui vient déranger le discours attendu. Ce silence n’est donc pas un retrait passif, mais un acte qui vise à soutenir votre propre mouvement psychique.

Si je me sens mal après une séance, est-ce un mauvais signe ?

Pas nécessairement. Une séance qui bouleverse ou dérange n’est pas un échec, mais souvent le signe que quelque chose a été touché : un refoulé, une faille, un point sensible. La psychanalyse ne vise pas le confort immédiat, mais la vérité du sujet.

Le malaise peut indiquer qu’une résistance cède, qu’un fantasme s’effrite, qu’une position subjective vacille. L’essentiel est que cela se déroule dans un cadre sécurisé, où ces affects peuvent être élaborés, transformés, mis en mots au fil des séances.

Est-ce que l’analyste me juge ?

Non, l’analyste ne juge pas. Il n’est ni moraliste, ni éducateur, ni observateur social. Il écoute au-delà du bien et du mal, du permis et du défendu, dans la logique propre de l’inconscient.

Ce que vous exprimez, même si cela vous semble honteux ou inavouable, trouve une place dans la cure. L’analyste entend le sens latent, le désir dissimulé, la structure du symptôme. Il ne s’identifie pas à une norme, mais tient une position éthique qui respecte votre singularité, sans évaluer ni corriger.

Pourquoi certaines interprétations me laissent perplexe ou me dérangent ?

Parce qu’une interprétation analytique n’est pas une explication rationnelle. Elle ne vise pas à vous rassurer, mais à ouvrir une brèche dans votre discours.

Lacan disait que l’interprétation doit faire vaciller le sens, pas l’éclairer. Elle agit sur le signifiant, sur ce qui échappe à la conscience, en créant parfois une gêne, un flottement, une énigme. C’est souvent dans cet effet d’incompréhension féconde que l’inconscient se manifeste. Une interprétation réussie ne clôt pas, elle inaugure une question nouvelle.

Comment savoir si la cure avance, si on ne fixe pas d’objectifs ?

La psychanalyse ne suit pas des objectifs prédéfinis, mais cela ne signifie pas qu’elle n’avance pas.

Le progrès s’évalue dans le changement de rapport à soi, au désir, aux autres. Vous pouvez constater que vos symptômes évoluent, que vous répétez moins, que certaines chaînes de pensée se délient. Il peut s’agir d’un allègement, d’un déplacement, d’une prise de décision. Ce sont souvent des effets indirects, différés, discrets. Vous ne cochez pas des cases, vous vous transformez en vous rencontrant autrement.

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A lire aussi : LA DIRECTION DE LA CURE ET LES PRINCIPES DE SON POUVOIR

Par Frédérique Korzine,
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