Peut-on faire une thérapie de couple après une rupture ?
9/1/2025

Peut-on faire une thérapie de couple après une rupture ?

Lorsqu’une rupture est annoncée, elle marque souvent la fin d’une période de tensions, de doutes et parfois de souffrances accumulées. Pourtant, au milieu de ce bouleversement, certains couples choisissent d’envisager une thérapie. Cette décision, qui peut sembler paradoxale, soulève une multitude de questions sur son sens et ses objectifs.

Table des matières

En bref…

Avant de plonger en détail…
On pense souvent qu’après la rupture, tout est fini. Pourtant, les émotions, les tensions – ou les espoirs – continuent parfois à circuler. Une thérapie de couple après séparation ne cherche pas à recoller les morceaux coûte que coûte. Elle vise à pacifier le lien, à clarifier les non-dits, et à construire un dialogue respectueux, notamment quand des enfants sont concernés. Que vous cherchiez à tourner la page ou à rouvrir une porte, cet accompagnement peut vous aider à sortir du flou, du conflit ou du silence.

Allez, c’est parti…

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Ce que disent les chiffres

Les données sur les couples séparés montrent à quel point la rupture ne met pas fin à l’histoire… elle en ouvre souvent une autre.

  • 25 % des ex-conjoints continuent à cohabiter temporairement après la rupture (INED, 2023).
    👉 La séparation ne rime pas toujours avec éloignement immédiat. Le lien persiste, parfois dans des conditions tendues.
  • 1 couple divorcé sur 3 avec enfant mineur entame une médiation ou une démarche thérapeutique (Insee, 2023).
    👉 Lorsqu’il y a des enfants, les parents cherchent des outils pour mieux gérer la transition.
  • 12 % des ex-couples ayant suivi une thérapie post-rupture finissent par se remettre ensemble (IFOP, 2022).
    👉 Ce n’est pas la majorité, mais cela montre qu’un espace de parole peut rouvrir des possibles, parfois inattendus.
  • 46 % des personnes séparées déclarent avoir encore des conflits non résolus avec leur ex-partenaire un an après la rupture (Baromètre Santé Psychique, France, 2023).
    👉 Le conflit post-rupture n’est pas une fatalité… mais sans accompagnement, il s’installe.

🧩 Ces chiffres confirment que la séparation ne clôt pas toujours les enjeux affectifs, relationnels ou parentaux. Et que la thérapie peut jouer un rôle décisif pour en sortir dignement.

Lorsque j’ai reçu Romain et Julie, ils étaient séparés depuis trois mois, mais leurs échanges ressemblaient toujours à ceux d’un couple en crise. Chaque SMS déclenchait une explosion. Leur fille de 11 ans refusait d’aller chez son père, persuadée que « maman pleure à chaque fois ». Dès la première séance, l’ambiance était tendue : reproches, interruptions, regards fuyants. Mais quelque chose les avait poussés à venir. Pas l’envie de se remettre ensemble — Julie avait très clairement fermé cette porte. Non. Leur motivation était ailleurs : ils voulaient cesser de se détruire et protéger leur fille. Au fil des séances, ils ont pu exprimer leur colère sans violence, poser des mots sur l’échec conjugal sans se blesser davantage. Peu à peu, la guerre s’est transformée en coopération minimale mais fiable : des règles éducatives communes, des échanges fluidifiés, et surtout, une enfant soulagée. Ce n’était pas une réconciliation amoureuse. C’était la naissance d’une parentalité adulte, après l’amour.

Lire aussi : Couple : lorsque la rupture est imminente !

Pourquoi entamer une thérapie de couple après une rupture ?

Parce qu'une séparation ne suffit pas toujours à clore le chapitre.

Il arrive qu'on se quitte sans s'être vraiment dit les choses importantes, ou qu'on reste pris dans une relation invisible, faite de rancunes, de regrets, ou d'attentes déçues.

C’est ce que les thérapeutes de couples appellent souvent une séparation inachevée.

Après une rupture, les ex-partenaires continuent parfois à se blesser mutuellement, à distance, par des silences lourds, des mots tranchants, ou des conflits répétitifs — notamment lorsqu’il y a des enfants au milieu. D’autres fois, au contraire, ils se retrouvent dans une ambiguïté affective : plus vraiment ensemble, mais pas tout à fait détachés.

La thérapie de couple après rupture offre un cadre neutre et sécurisé pour :

  • déposer les émotions encore vives (colère, tristesse, culpabilité, ambivalence) ;
  • comprendre les mécanismes relationnels qui ont conduit à la rupture ;
  • poser des mots sur ce qui reste en suspens : des blessures, des incompréhensions, ou un sentiment d'inachèvement.

Elle permet aussi de transformer la relation, de passer d’un lien conjugal à un lien d’adultes responsables, qu’il s’agisse d’amitié, de co-parentalité ou simplement de respect mutuel.

💡 Bon à savoir : Il ne s’agit pas de se remettre ensemble à tout prix, mais de pouvoir trouver une forme de paix intérieure. Car rester en guerre avec l’autre, c’est souvent rester en guerre avec soi-même.

Quelles sont les attentes possibles de chacun ?

Une thérapie de couple après rupture ne repose pas sur une symétrie parfaite : chacun arrive avec ses blessures, ses espoirs, ses contradictions.

L’un veut « comprendre », l’autre « oublier ». L’un espère « reconstruire », l’autre poser des limites. Et tout cela peut évoluer au fil des séances.

Voici quelques attentes fréquemment exprimées :

  • Clarifier la nature du lien : Sommes-nous définitivement séparés ? Restons-nous partenaires pour les enfants ? Avons-nous encore quelque chose à vivre ensemble, autrement ?
  • Être entendu(e) : Dans la rupture, beaucoup se sentent incompris, niés, blessés. La thérapie permet de dire ce qui n’a jamais été dit, ou mal reçu.
  • Faire le deuil du couple : Comprendre pourquoi cela n’a pas marché, pour ne pas traîner cette douleur dans une future relation.
  • Apaiser la colère ou la culpabilité : Sortir des scénarios d’accusation ou d’autoflagellation, souvent toxiques pour les deux.
  • Préserver ou réparer la co-parentalité : Pour les couples avec enfants, il ne s’agit pas d’aimer encore, mais de pouvoir coopérer avec respect.
👥 Et parfois… il y a aussi l’inavoué : l’envie de raviver une flamme, de « voir si l’autre a changé », ou de tester si une réconciliation est possible. Ces espoirs doivent pouvoir être accueillis sans jugement, dans un cadre thérapeutique bien tenu.

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Ce que n’est pas cette thérapie

Faire une thérapie de couple après la rupture, ce n’est pas faire semblant qu’il ne s’est rien passé.

Ce n’est pas non plus un espace où l’un supplie pendant que l’autre juge.

Il est important de comprendre ce que cet accompagnement n’est pas, pour en éviter les malentendus.

Ce n’est pas une tentative désespérée de recoller les morceaux à tout prix
On ne vient pas pour « sauver le couple » par miracle. Le but n’est pas de revenir en arrière, mais d’explorer ce qui reste du lien : utile, nuisible, ou à transformer.

Ce n’est pas une séance de reproches ou un tribunal du passé
Il ne s’agit pas de désigner un coupable. La thérapie vise à dépasser les scénarios de blâme pour permettre une parole vraie et responsable.

Ce n’est pas une thérapie individuelle déguisée
Le thérapeute ne prend pas parti. Il soutient l’espace entre les deux personnes : ce tiers-lien qu’on appelle le « couple » – même s’il a changé de forme.

✅ En revanche, c’est un espace pour mettre à jour les blessures, décoder les malentendus, reconnaître les impasses, et peut-être imaginer une nouvelle façon d’être en lien. Pas forcément amoureux, mais humain.

Comment se déroule une thérapie de couple après séparation ?

Même séparés, vous continuez à partager un lien. Et c’est ce lien – conflictuel, ambivalent, ou résiduel – qui devient l’objet du travail thérapeutique.

Le cadre reste celui d’une thérapie de couple classique, mais la posture est spécifique : on n’essaie pas de faire revivre le passé, on tente de comprendre ce qui s’est joué, et de transformer la relation pour l’apaiser ou lui donner une autre forme.

🪑 Concrètement :

  • Les séances sont menées en présence des deux partenaires.
  • Le thérapeute écoute ce qui circule entre vous : accusations, silences, attentes, souvenirs…
  • Certains entretiens peuvent être menés en individuel si cela favorise la mise en mots de certains vécus (deuil, violence, secret, ambivalence).
  • L’objectif est de faire émerger des représentations plus claires, des mots plus justes, et parfois de reconstruire un lien de confiance, même minimal.

💬 Il ne s’agit pas de se convaincre mutuellement, mais de pouvoir dire et entendre ce qui a été tu, nié ou mal compris.

👣 Et si vous n’avez pas les mêmes attentes, ce n’est pas un obstacle. La thérapie accueille aussi cette asymétrie, avec douceur mais sans illusion.

Une rupture annoncée ne signifie pas forcément qu’il n’y a plus d’amour ou d’attachement.

Co-parentalité et reconstruction : un enjeu majeur

Quand des enfants sont impliqués, la rupture du couple ne signe pas la fin de la relation.

Elle transforme simplement les termes du lien : vous n’êtes peut-être plus partenaires amoureux, mais vous restez co-responsables d’un être en construction.

Or, la séparation – surtout si elle est douloureuse – peut faire vaciller les repères : communication interrompue, décisions prises unilatéralement, enfant pris en otage émotionnel ou affectif… La thérapie de couple post-rupture devient alors un espace de pacification, au service de l’enfant et de votre avenir parental commun.

🎯 Objectifs de ce travail :

  • Clarifier les règles du jeu éducatif : ce qui se décide ensemble, ce qui reste à chacun.
  • Travailler sur les différences de styles parentaux, sources fréquentes de tension.
  • Apprendre à communiquer sans violence ni manipulation, même en cas de désaccord.
  • Offrir à l’enfant un modèle de dialogue respectueux malgré la séparation.
🧠 Car les enfants ne souffrent pas du divorce en soi, mais de la conflitualité chronique, du non-dit, ou du rôle d’arbitre qu’on leur fait souvent porter.

🤝 Une thérapie bien menée peut ainsi protéger l’enfant, renforcer sa sécurité intérieure, et poser les bases d’une co-parentalité solide, même entre ex-partenaire blessés.

Quand consulter ?

Il n’est jamais trop tôt – ni trop tard – pour consulter après une rupture.

Beaucoup attendent que « les choses se calment », que « les émotions retombent », ou que l’autre fasse le premier pas.

Mais souvent, le silence alimente les malentendus, et les blessures s’enracinent.

🕰️ Vous pouvez envisager une thérapie post-rupture :

  • Quelques jours ou semaines après la séparation, si les tensions persistent ou que le choc émotionnel est encore vif.
  • Des mois plus tard, si vous êtes coincés dans un conflit répétitif, une communication coupée ou des non-dits paralysants.
  • Si vous vous revoyez souvent sans arriver à vous parler, ou si la distance n’a rien apaisé.
  • Si l’un de vous deux pense à une éventuelle reconnexion, mais que l’autre hésite, ou ne veut plus souffrir.

👶 Et lorsqu’il y a des enfants, mieux vaut ne pas attendre que les effets se fassent sentir (troubles du comportement, somatisations, repli…).

💡 Consulter tôt, c’est donner une chance à la clarification, avant que les rancunes ne deviennent des murs infranchissables.

Questions fréquentes sur la thérapie de couple après rupture

La thérapie post-rupture est-elle utile même si on ne se parle plus du tout ?

Oui, et c’est même l’une des situations où elle est le plus indiquée.

Quand le dialogue est rompu, un thérapeute de couple – psychothérapeute, psychologue, praticien en thérapie systémique, analytique, TCC ou approche intégrative – permet de recréer un espace neutre où la parole circule à nouveau. On ne vise pas une réconciliation, mais une pacification relationnelle. Cela évite que le mal-être et les blessures inconscientes s’installent durablement. Même si vous n’avez aucun contact, vous pouvez commencer une thérapie pour clarifier ce qui bloque et apaiser la dynamique.

Et si mon ex-partenaire ne veut pas venir ?

C’est très courant.

Dans ce cas, vous pouvez consulter un thérapeute seul ou seule, qu’il s’agisse d’un psychologue, d’un psychothérapeute ou d’un praticien travaillant en approche humaniste, Gestalt, analytique ou transactionnelle. Ce travail individuel permet de comprendre les mécanismes relationnels, d’éclairer l’inconscient et de réduire la charge émotionnelle. Parfois, ce premier mouvement crée un élan chez l’autre pour rejoindre la démarche, mais ce n’est jamais une obligation. Entreprendre une thérapie, même en solo, constitue déjà un acte de guérison psychique.

Combien de séances faut-il prévoir ?

Il n’y a pas de règle fixe.

Certains couples trouvent un apaisement en quelques séances de thérapie brève. D’autres ont besoin d’un travail plus profond, surtout lorsqu’il existe des conflits anciens, une dépression, une forte charge émotionnelle ou des enjeux parentaux. Le thérapeute de couple évalue avec vous la durée possible, en fonction de la dynamique relationnelle et de vos objectifs. L’approche peut être comportementale, relationnelle, intégrative, ou inspirée de psychothérapies plus psychothérapeutiques (psychanalytiques, systémiques…).

Peut-on faire une thérapie post-rupture si la séparation date de plusieurs années ?

Oui.

Même longtemps après, les blessures peuvent rester actives dans l’inconscient et continuer à influencer votre santé mentale, vos relations futures ou votre co-parentalité. Suivre une thérapie permet de revisiter ces zones restées à vif, d’apaiser les tensions et d’alléger ce que la rupture a laissé en suspens. Le travail peut être conduit par un psychothérapeute, un psychologue clinicien ou un praticien en psychopathologie relationnelle. Il n’est jamais trop tard pour transformer un lien qui vous pèse encore.

Cette thérapie est-elle adaptée à tous les types de couples ?

Oui.

Les psychothérapeutes et praticiens en thérapies conjugales travaillent avec toutes les configurations : couples hétérosexuels, homosexuels, co-parents, couples âgés ou séparés depuis longtemps. L’approche est ajustée selon les besoins : systémique pour les interactions familiales, analytique pour les enjeux inconscients, comportementale pour un travail plus concret, transactionnelle pour clarifier les modes relationnels. Ce qui compte, c’est la motivation de chacun à voir un thérapeute pour apaiser ce qui reste douloureux.

Faut-il venir dès la première séparation ou attendre une rupture “définitive” ?

Il n’existe pas de bon moment universel.

Certains couples consultent dès la première annonce car la charge émotionnelle est trop forte. D’autres viennent après une séparation déjà ancienne. L’important, c’est qu’il reste un enjeu relationnel à éclaircir. Une thérapie comportementale, systémique ou relationnelle peut aider dès les premiers signes de conflit, tandis qu’une démarche plus analytique ou intégrative convient lorsque les blessures sont profondes. L’essentiel est d’entreprendre une thérapie avant que les non-dits ne se transforment en murs.

Et si l’un de nous est déjà en couple avec quelqu’un d’autre ?

Cela ne pose pas problème.

Refaire sa vie ne signifie pas que le passé est psychiquement digéré. La présence d’une nouvelle relation peut même accentuer les tensions avec l’ex-partenaire, notamment si la co-parentalité reste délicate. Un praticien relationnel – psychologue, psychothérapeute ou spécialiste en thérapies humanistes ou transactionnelles – vous aide à clarifier les enjeux, apaiser les émotions et réorganiser les frontières. Le travail n’interfère pas avec la nouvelle relation : il vise plutôt une meilleure guérison du passé, pour éviter de le reproduire.

La thérapie peut-elle aider si la séparation a été violente ?

Oui, mais avec un cadre strict et éthique.

Lorsque la rupture s’est accompagnée de violence psychologique ou physique, le psychothérapeute doit veiller à la sécurité de chacun, parfois avec des entretiens séparés. Une approche intégrative, associant lecture systémique, compréhension analytique et outils de thérapie comportementale, permet de sécuriser le lien parental, de sortir d’une emprise ou de travailler les traumatismes. Le recours à un psychiatre peut également être proposé si nécessaire, notamment en cas de traumatisme ou de dépression sévère.

Comment savoir si on est prêts à entamer une thérapie ensemble ?

Demandez-vous si vous avez encore quelque chose d’important à dire ou à entendre de l’autre.

Si oui, c’est probablement le bon moment pour commencer une thérapie. Il n’est pas nécessaire d’être d’accord ni d’aller bien : il faut seulement être prêts à collaborer dans un espace sécurisé. Le thérapeute de couple, qu’il soit psychologue, psychothérapeute ou praticien en thérapies relationnelles ou transactionnelles, vous aide à poser un cadre clair et à définir les objectifs. Le travail s’adapte à votre rythme et à votre histoire.

Et si la thérapie fait ressurgir des émotions trop douloureuses ?

C’est possible, et souvent signe que la thérapie touche quelque chose d’essentiel.

Le rôle du praticien est d’offrir un cadre contenant, inspiré des approches analytique, humaniste, systémique ou comportementale, pour que ces émotions puissent s’exprimer sans déborder. Vous n’êtes jamais seuls : les psychothérapeutes sont formés pour accompagner ces moments avec finesse, sans forcer ni brusquer. Ces passages sensibles participent souvent de la guérison et ouvrent la voie à une relation plus apaisée, même après la rupture.

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Avis Google

⭐⭐⭐⭐⭐
Une expérience très bénéfique. Nous étions séparés depuis plusieurs mois, en froid, et la communication était impossible. Grâce à l’accompagnement de Mme Korzine, nous avons pu retrouver un respect mutuel. Ce n’était pas facile, mais aujourd’hui nous arrivons à dialoguer pour nos enfants. Je recommande vivement cette approche. — Émilie D., avis vérifié sur Google

⭐⭐⭐⭐⭐
Une thérapeute très humaine et à l’écoute. Je ne pensais pas qu’une thérapie de couple après une rupture puisse nous aider. Et pourtant… Les séances nous ont permis de tourner la page avec plus de sérénité. Une vraie respiration dans un moment très compliqué. — Julien F., avis vérifié sur Google

⭐⭐⭐⭐⭐
Professionnalisme et bienveillance. Même après la fin du couple, il restait trop de tensions pour qu’on avance chacun de notre côté. La thérapie nous a permis d’y voir plus clair. Aujourd’hui, on est séparés, mais apaisés. Merci ! — Claire V., avis vérifié sur Google

Par Frédérique Korzine,
psychanalyste à Versailles
Pour un soutien personnel ou professionnel, je vous propose un suivi adapté à vos besoins favorisant bien-être et épanouissement, à Versailles.

Psychanalyse, hypnose, coaching, supervision et thérapies brèves.

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