En Israël, une opération du cerveau sous hypnose a récemment marqué un tournant médical : un patient atteint de Parkinson a subi une chirurgie complexe tout en restant éveillé, guidé par la voix d’un hypnothérapeute. Pas d’anesthésie lourde, pas de panique, mais un voyage intérieur apaisant qui a transformé l’expérience chirurgicale. Cette prouesse illustre le potentiel de l’hypnose dans la médecine moderne : réduire l’anxiété, soulager la douleur et redonner au patient une place active dans son parcours de soin. À Versailles aussi, l’hypnose ouvre de nouvelles perspectives thérapeutiques.
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Avant de plonger dans cette histoire étonnante, retenons une idée simple : l’hypnose n’est pas seulement un outil psychologique, elle devient un véritable allié médical. À Nahariya, en Israël, un patient atteint de Parkinson a subi une chirurgie cérébrale inédite sous hypnose, sans douleur et sans panique. Cette prouesse ouvre des perspectives incroyables : moins d’anxiété, moins d’anesthésie, plus de confiance dans le corps médical. Allez, c’est parti…
Au centre, un patient de 71 ans, atteint de maladie de Parkinson, s’apprête à subir une intervention cérébrale délicate. Habituellement, on s’attendrait à une anesthésie générale lourde, avec ses risques et ses suites parfois difficiles. Mais à Nahariya, c’est une voix qui a pris le relais.
Le Dr Oudi Bonstein, psychologue et hypnothérapeute, a guidé Ali Abu-Ria dans un état de concentration intense, qu’on appelle transe hypnotique. Plutôt que de sombrer dans l’inconscience, le patient est resté pleinement éveillé, connecté à ses sensations mais détaché de la douleur.
Il raconte : « Je me suis senti transporté en Thaïlande, comme en vacances. »
Ce témoignage illustre la puissance de l’hypnose : le cerveau ne distingue plus le vécu du réel de l’imaginaire, ce qui permet d’atténuer la perception de la douleur et d’apporter un apaisement profond. Dans ce cas précis, la voix du thérapeute a remplacé l’anesthésie lourde, transformant un moment potentiellement terrifiant en expérience presque agréable.
Sous hypnose :
En clair, ce n’est pas que la douleur disparaît totalement, mais le cerveau la perçoit comme secondaire, voire insignifiante, car l’attention est absorbée ailleurs.
Cette approche ouvre une réflexion essentielle : et si, au lieu de toujours médicaliser davantage, nous redonnions au psychisme sa place dans la guérison ?
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Lors de l’opération à Nahariya, les électrodes ont été implantées dans le cerveau d’Ali Abu-Ria pour atténuer ses tremblements liés à la maladie de Parkinson. Or, le fait qu’il soit resté conscient a offert aux chirurgiens une précision inédite.
Le neurochirurgien, Dr Yuval Gruber, a résumé l’expérience d’une phrase saisissante : « Je n’ai jamais vu un malade aussi détendu lors d’une chirurgie aussi complexe. »
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Lorsque le patient est éveillé, son cerveau peut fournir des indications directes aux médecins : mouvements, sensations, réactions. L’hypnose rend ce processus fluide, car elle :
En combinant chirurgie de pointe et hypnose, on ne mise pas seulement sur la technologie, mais aussi sur la relation thérapeutique. La voix du praticien devient aussi importante que le scalpel. Cette alliance marque une révolution silencieuse : redonner au patient sa place active dans le processus de soin.
L’opération de Nahariya n’est pas un coup d’éclat isolé : elle s’inscrit dans un mouvement de fond. Depuis une vingtaine d’années, l’hypnose médicale s’impose progressivement dans les hôpitaux du monde entier, en particulier pour gérer la douleur, l’anxiété et certaines interventions chirurgicales.
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Contrairement aux idées reçues, l’hypnose médicale n’endort pas le patient dans un état passif. Elle l’implique activement, mobilisant ses propres ressources internes pour moduler la douleur, calmer l’angoisse et stabiliser le corps. C’est une technique complémentaire à la médecine, validée par de nombreuses études cliniques.
En Israël, l’ouverture d’une clinique spécialisée avec 20 praticiens formés marque une étape importante : l’hypnose n’est plus cantonnée à quelques cas isolés, mais devient une option thérapeutique intégrée aux parcours de soins.
Lorsque j’ai reçu en consultation Marc*, 56 ans, atteint de douleurs chroniques après plusieurs opérations du dos, il était découragé. Les médicaments l’aidaient peu, et il craignait de « devenir dépendant » aux antalgiques. Nous avons travaillé en hypnose sur la dissociation entre la douleur et son vécu émotionnel. Au fil des séances, Marc a appris à déplacer son attention vers des images mentales positives, créant un apaisement immédiat. Quelques semaines plus tard, il me confiait qu’il avait pu réduire sa consommation d’antalgiques et retrouvait des nuits plus sereines.
Ce que la médecine israélienne a prouvé dans un bloc opératoire, je le vois chaque jour en cabinet : le cerveau est capable de transformer la perception de la douleur quand il est guidé par l’hypnose.
Le cas d’Ali Abu-Ria n’est pas une simple anecdote médicale. C’est le signe qu’une révolution silencieuse est en marche. En intégrant l’hypnose dans la pratique médicale, on dépasse une opposition ancienne : d’un côté la technique chirurgicale, de l’autre le psychisme.
Aujourd’hui, les deux s’allient. Et cette alliance change tout :
C’est une révolution douce, car elle ne fait pas de bruit, mais elle transforme en profondeur la médecine contemporaine. Elle nous rappelle une évidence souvent oubliée : soigner un corps, c’est toujours soigner une personne dans sa globalité.
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Bien sûr, toutes les opérations du cerveau ne se feront pas demain sous hypnose en France. Mais l’essentiel n’est pas là. Ce que l’expérience israélienne démontre, c’est que l’hypnose a toute sa place dans nos pratiques thérapeutiques quotidiennes, même loin des blocs opératoires.
À Versailles comme ailleurs, nous rencontrons des personnes qui souffrent de :
Dans ces situations, l’hypnose devient une ressource précieuse : elle réduit la peur, restaure la confiance et soulage autant la douleur émotionnelle que physique.
L’exemple de Nahariya nous inspire car il montre, preuves à l’appui, que l’hypnose n’est pas une technique marginale, mais un levier thérapeutique puissant. Au Cabinet Psy-Coach Versailles, nous constatons chaque jour à quel point elle peut transformer un vécu de souffrance en un chemin de réappropriation de soi.
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L’opération réalisée à Nahariya n’est pas seulement une prouesse médicale, c’est un symbole. Elle démontre que la voix, l’imaginaire et la confiance peuvent parfois remplacer les molécules chimiques. Sans rejeter la médecine moderne, elle rappelle une vérité essentielle : le psychisme est un allié incontournable dans le soin.
À Versailles, dans un cabinet comme dans un hôpital, l’hypnose n’est pas de la magie, mais une méthode validée qui aide à calmer l’angoisse, gérer la douleur et retrouver un équilibre de vie. Elle ne guérit pas tout, mais elle ouvre un espace où le patient redevient acteur de sa guérison. Et si la médecine du futur, finalement, consistait à renouer avec cette alliance entre la technique et l’humain ?
Vous souhaitez retrouver équilibre et sérénité ? Notre thérapie par l’hypnose à Versailles peut vous aider
Elle est utilisée en chirurgie ambulatoire, en cancérologie, en maternité et en soins palliatifs. De nombreux médecins, psychologues et infirmiers sont désormais formés à l’hypnose clinique. Cette pratique permet de réduire l’anxiété, d’apaiser la douleur et de limiter les doses d’anesthésie. À Versailles aussi, l’hypnose thérapeutique est proposée en cabinet pour accompagner peurs, phobies et douleurs chroniques.
En chirurgie, elle aide à maintenir le patient éveillé et détendu, ce qui facilite certaines interventions nécessitant une coopération. Elle diminue aussi les risques liés aux produits anesthésiques. L’hypnose est donc un outil médical puissant, utilisé en France et ailleurs pour rendre l’expérience opératoire plus humaine et moins traumatisante. À Versailles, elle accompagne également douleurs et anxiété.
Certaines personnes réagissent davantage par l’imaginaire, d’autres par les sensations corporelles ou l’attention à la voix. La clé réside dans la relation de confiance avec le praticien. En cabinet, l’hypnose est adaptée à chaque personne pour favoriser un état de concentration profonde. À Versailles, les séances sont personnalisées, que ce soit pour gérer une douleur, une phobie ou une angoisse persistante.
Le patient reste conscient et peut communiquer avec le chirurgien et l’hypnothérapeute. En cas d’inconfort ou de besoin, une anesthésie classique peut immédiatement compléter l’hypnose. Les études montrent que cette approche réduit l’anxiété et la douleur perçue, sans risque supplémentaire. À Versailles, l’hypnose pratiquée en cabinet est également sécurisée, adaptée aux besoins spécifiques de chaque patient et respectueuse de son rythme.
Elle est largement utilisée pour gérer les douleurs chroniques (migraines, fibromyalgie, douleurs lombaires), diminuer le stress et les phobies, améliorer le sommeil et accompagner les états dépressifs. Elle favorise aussi la préparation mentale avant un examen ou une prise de parole en public. À Versailles, l’hypnose aide quotidiennement des patients à retrouver confiance en eux, à surmonter leurs peurs et à améliorer leur qualité de vie durablement.